comment les montres Omega utilisent la technologie pour renforcer leur marque

Breitling réinventé: Georges Kern

Breitling, la quatrième marque de montres la plus vendue d’Amérique du Nord, est connue non seulement pour ses montres aviateurs de taille macho, mais aussi pour la publicité risquée qui les accompagne. Le thème est macho, avec des pilotes de chasse héroïques juxtaposés à des pin-ups plantureuses et légèrement vêtues, inspirées par l'art du nez dans les avions de chasse de la deuxième guerre mondiale. Au mois d’avril dernier, cependant, il y a une nouvelle équipe au sol à Breitling, et bien que l’aviation soit toujours un thème, elle est moins prédominante et les filles sont parties. "Vous ne pouvez plus montrer ce genre de choses; Il ne reflète pas les valeurs de la société actuelle », a déclaré Georges Kern, un nouveau dirigeant de l'industrie horlogère qui a rejoint Breitling en tant que PDG et investisseur peu après son acquisition l'an dernier par CVC Capital Partners. "Aujourd'hui", dit Kern,

C'était la salve d'ouverture de Kerns sur l'étape de New York de son roadshow "Legendary Future", avec des arrêts précédents à Shanghai et à Zurich. L'objectif était de dévoiler le nouveau langage de collection et de design de Breitling. À l'avenir, les nouveaux modèles seront réduits, nettoyés et classés dans l'un des trois domaines liés au sport: terrestre, maritime ou aérien. Les montres d'aviation font toujours partie de la collection, mais partageront un espace égal avec les modèles d'inspiration sportive de la terre et de la mer, y compris les pièces sur le thème de la moto. Breitling vient de lancer un partenariat avec Norton Motorcycles et des montres de plongée. Le plus gros vendeur de Breitling est le Superocean Heritage II, réintroduit cette année dans un boîtier plus petit avec un mouvement interne amélioré, assorti d'une garantie de cinq ans (la norme de l'industrie est de deux). "Personne ne fait ce rapport qualité / prix", explique Kern.

Pour aider à réorganiser la collection, il a fait appel à Guy Bove, qui, en tant que directeur créatif chez Chopard ces dix dernières années, a joué un rôle déterminant dans le lancement de la collection LUC de montres haut de gamme avec mouvements internes. Avant cela, il a travaillé pour Kern pendant six ans chez IWC, une marque de montres de sport haut de gamme, mais moins visible, appartenant au groupe Richemont. Le mémoire de Bove était de mettre à jour la ligne de Breitling pour y inclure des designs plus propres et plus contemporains, mais pour s’inspirer des archives (Breitling a été fondée en 1884, les archives sont donc nombreuses).

"L'idée n'est pas de refaire des montres anciennes", dit Bove, qui est aussi fatigué que la plupart des fans de la gamme chronique de reproductions vintage des marques du patrimoine ces deux dernières années. "Je vois cela plus comme prendre des ingrédients crus de modèles plus anciens et les utiliser dans de nouvelles recettes." Tous ces ingrédients ne feront pas la coupe. Les fans ont été choqués, par exemple, lorsque Breitling a présenté une nouvelle Navitimer, sa montre pilote de signature, sans la règle à calcul, une caractéristique déterminante depuis les années 1950. Ce n'était pas que la règle des diapositives était jugée obsolète; en fait, c'était trop moderne. Le nouveau design s'inspire des chronographes embarqués produits par Breitling dans les années 1930 et 1940, une ère avant les règles du slide. "Il s’agit d’une montre d’outil inspirée par les pilotes qui pilotent de petits avions dangereux qui n’ont pas le temps d’utiliser une règle à calcul, mais qui ont besoin et faire des calculs », dit Bove. Le nouveau modèle, le Navitimer 8, porte le nom du département Huit Aviation de Breitling, mis en place par la société en 1938 pour produire des instruments de cockpit. Huit a fait référence, à l’époque, à la réserve de marche de huit jours des instruments de bord.

Mis à part les pin-up et les règles de la diapositive, Breitling abandonne quelque chose pour lequel il est reconnu, du moins dans certains milieux. Au fil des ans, Breitling a accueilli la plus grande fête, la plus sauvage et la plus incontournable à Baselworld, la foire commerciale annuelle du printemps en Suisse. La soirée, qui dure trois nuits consécutives, devrait coûter 2 millions de dollars chaque année et implique non seulement de grandes quantités de nourriture et d’alcool mais, selon le thème, des danseurs burlesques, des matchs de boxe en direct, des drag-queens, des tigres vivants, et le combat d'épée occasionnel. Dans la petite ville de Bâle, plutôt endormie, connue pour sa bratwurst et sa bière, cela constitue un spectacle. À partir de cette année, la fête est hors d’ordre du jour. "J'ai investi mon argent personnel dans l'entreprise, et je ne vais certainement pas le faire exploser sur cette fête, "Kern a répondu à une enquête de presse sur la fête annuelle. "Je suis heureux de vous inviter pour une saucisse à la place."

Chaque montre a un attribut distinct qui la distingue des autres. Dans le cas de ce garde-temps entièrement noir, Cartier a décidé de l'appeler après le cabochon bleu confortablement installé dans la couronne. Le boîtier en acier noir et ADLC de la montre, ainsi que son bracelet en cuir de veau, accentuent ce bijou de la couronne. Le cadran guilloché du Ballon Bleu est décoré de chiffres romains et d'aiguilles en forme d'épée. Le Ballon Bleu 42 mm est doté du calibre automatique 1847 MC de Cartier.