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mardi, août 07, 2018
SEIKO WOMEN-A LIFE (CHAPITRE 4 - LEÇON 1)
Seiko a finalement obtenu la reconnaissance de la communauté internationale après sa participation au concours chronomètres Observatoire suisse, la compétition a été couronnée de succès avec un certain nombre d'usine qualifié de meilleur suisse sur le terrain regarder la production. Cela marque un tournant important dans la fortune internationale de l'entreprise et est reconnu dans le monde entier.
Et maintenant, seiko epi poursuit l'objectif de trouver l'objet pour développer une "montre parfaite". Depuis le milieu des années 1950, ils ont dominé les compétitions nationales. À partir de 1948 dans le but d'améliorer la qualité de la montre japonaise. Le Japan Center for Weight Measurement and Standardization a procédé à un examen approfondi de l'échantillon des entreprises participant à la compétition. Au départ, les résultats ont été décevants. Sur les 80 montres envoyées, 62 ont été éliminées. Cela conduit les entreprises à continuer à s’efforcer d’améliorer leurs normes, ce qui se traduit par une amélioration des niveaux et de la qualité au fil des ans.
Lorsque Seiko a remis la merveille à l'institut en 1956, il a eu beaucoup de succès et n'a presque pas eu de rival sur le marché intérieur. À la fin de 1958, les modèles de merveille avaient inondé le jury lorsque tout allait du début à la fin du neuvième concours interne. La participation à ces compétitions a donné une impulsion à l'amélioration des normes et seiko a réussi à surmonter les défis.
Lorsque les compétitions locales ont pris fin en 1960, de nombreux travailleurs de l'usine Suwa étaient déterminés à fabriquer la meilleure montre et ils se sont demandé où ils allaient participer à la course contre l'épéiste. - Selon tsuneya nakamura, l’homme deviendra plus tard président de seiko epson et sera étroitement associé au développement de la série des merveilles ainsi qu’aux montres grand seiko et jelly. Les concours organisés à l'observatoire astronomique annuel de Neuchâtel comprennent des éléments internationaux, mais ils attirent rarement la participation d'autres pays. Quand il a étudié les règles du chronomètre chronomètre, il a découvert que les fabricants étrangers étaient autorisés à participer et il a été informé à nouveau que les organisateurs seraient très heureux de la vague de la concurrence. du Japon.
La société affirme que la concurrence au chronomètre constituera la base parfaite, tant pour la poursuite de la précision que pour la promotion de la marque seiko dans le monde. En 1963, l'usine suwa seikosha de Seiko devient la première unité horlogère japonaise à participer à la compétition de neuchâtel. Le produit qu'ils ont choisi était la montre à quartz appelée chronomètre à cristal, qui est entrée dans le portefeuille des chromates marins. Il a été décerné le 10. C'est une réussite remarquable: il n'y a jamais eu d'autre producteur qu'un épéiste.
L'année suivante, seiko a commencé à faire partie de la catégorie des montres-bracelets, mais les résultats ont été très bas, les notes les plus élevées étant 144 pour suwa seikosha et 153 pour daini seikosha. Les seuls résultats positifs ont été les 14 machines à quartz qui ont réussi les tests de latence. Cet échec les rend moins illusoires. Les résultats décevants ont inspiré l'esprit de seiko dans la conception et la fabrication de montres. La recherche d'une plus grande précision est devenue une priorité absolue pour les ingénieurs des deux usines et elles sont elles-mêmes en concurrence sur la route pour progresser. Seiko s'est amélioré progressivement.
Ils ont également décidé de créer autant de composants que possible à partir du matériau permalloy, un type d’alliage de nickel et de fer, qui pourrait minimiser les effets de forts courants électriques, ce qui pourrait nuire à Pièces lors du déplacement à bord. Le champ magnétique traverse le matériau permalloy sans l’affecter. Cet alliage est également utilisé dans les conteneurs utilisés pour transporter les montres aux épées.
Les premières montres à jouer sont presque exclusivement des produits non commerciaux. La concurrence s'améliorant, des progrès ont été réalisés et Seiko a commencé à commercialiser des produits de production pour la concurrence. Ceci est similaire aux constructeurs automobiles d'aujourd'hui, et parfois les nouvelles conceptions et fonctionnalités testées dans la course sont une condition préalable à l'acceptation de la production commerciale. Lorsque seiko a participé à la compétition de chronomètres, l'utilisation d'oscillateurs à haute fréquence a permis d'améliorer considérablement la précision. Ensuite, un certain nombre d'oscillateurs à haute fréquence ont été vendus au public, aidant les gens à mieux connaître la précision des montres Seiko.
Au même moment, l’épéiste cherchait un moyen d’appliquer les hautes fréquences. Les équipes d'ingénieurs de Seiko ont innové en les testant 2 à 6 fois plus vite que d'habitude. Certaines de leurs horloges concurrentes utilisent 15 à 20 portées. En laboratoire, il s’applique même à des vitesses allant jusqu’à 50 battements par seconde. Ce sont les étriers 052, et ils ont également introduit un certain nombre d'améliorations conçues pour fournir un support stable à l'équilibreur en fonctionnement haute fréquence. Les ingénieurs de Seiko sont arrivés à la conclusion que l'utilisation d'une machine plus rapide que 10 battements par seconde n'est pas réalisable et que 8 battements par seconde sont une meilleure solution. Et chez l'épéiste, c'est une coïncidence si ils parviennent à une conclusion similaire.
Une autre expérience de seiko, remplie d’hydrogène pour éliminer l’oxygène à l’intérieur, évite l’oxydation qui peut causer la rouille du compteur. Cette méthode a ensuite été appliquée pour produire des séries VFA et grand seiko.
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